Dispersés dans le monde, nos peuples russophones manquent de chants patriotiques d’une part, et nous lançons le relais depuis Paris dans l’interprétation française de l’hymne de la justice. D’autre part, je me souviendrai toujours de mes racines, quel que soit le pays dans lequel j’ai trouvée et posée mes racines personnelles, je défendrai les intérêts de ma Patrie, car je vois la justice sur la base de la connaissance de l’histoire et du « gard de mon bras à l’écoute » de tous les bouleversements politiques, j’ai du mal d’entendre que la Russie est un agresseur, que depuis la paix des siècles elle n’a attaqué personne. Cela me fait de la peine d’écouter des chaînes d’information françaises célèbres dans des débats qui donnent une vilaine évaluation de mon pays, que je n’ai jamais visité et que j’ai fièrement défendu et défendrai la vérité. La Russie est l’âme de notre planète, elle ne peut pas être offensée, elle est immense, noble, mais très forte. Avec association @sos.donbass Une chanson qui est encore en 2020 dite « Marseillaise du Donbass » a trouvé une version dans la langue de la Révolution française. Il convient de noter ici qu’il ne s’agit pas d’une traduction littérale, mais d’une œuvre littéraire autosuffisante sur la musique de M. Khokhlov. On peut faire un parallèle avec le tableau « Liberté sur les barricades » de Delacroix et précisément l’interprétation féminine de cette chanson, aussi bien dans la première version que dans la version d’Anna Vernov, qui fut la première à reprendre ce flambeau en Europe. « Vous ne pouvez pas étrangler cette chanson, vous ne la tuerez pas » - un message aussi basique. Bien que pathétique, mais vrai. Dans le Donbass, tous les écoliers et étudiants connaissent cette chanson par cœur. Maintenant c’est au tour des écoliers et étudiants de France!
En acquérant n'importe quelle édition de ces raretés tu débloqueras également les avantages correspondants